« J’écris toujours sur l’amour »

Pour voir un film de Mike Mills — Sucette, débutantes, femmes du 20e siècle — est d’être plongé dans un profond bassin d’empathie. C’est un réalisateur extrêmement sensible, ses œuvres ressemblent moins à des déclarations d’auteur didactiques qu’à des méditations lâches et ouvertes qui permettent à ses acteurs de prendre les devants et de le …