Hudson Mohawke trouve l’optimisme dans l’apocalypse sur son troisième album studio, « Cry Sugar »

Mohawke d’Hudsoncriminellement sous-estimé, vient de sortir son troisième album studio, Pleurer du sucre, ce vendredi dernier. En règle générale, nous faisons de notre mieux pour partager des nouvelles d’une sortie de cette ampleur jour après jour, mais cet album est si dense et unique que nous avons juste dû prendre le week-end (plus un autre jour) pour le digérer complètement.

Le nouveau long métrage arrive avec les singles précédemment sortis « Bicstan », « Stump » et « Dance Forever ». Pleurer du sucre approfondit sa pratique de la production de musique motivante pour les amateurs de club – élevant la débauche et inspirant beaucoup à travers sa propre marque de maximalisme anthémique. En effet, une partie du charme de la production de HudMo est la façon dont il met autant dans chaque morceau, qu’il s’agisse des notes magiques de « Stump », du grandiose « Lonely Days » à la M83 ou du fou et sauvage « 3 Sheets To ». Le vent. »

Au milieu du bruit des appareils d’IRM et des hurlements de célébration contorsionnés, Mohawke fait allusion à une capacité athlétique à faire rage jusqu’à la prochaine décennie. Le résultat a été un style de production capable d’intégrer des éléments de jazz fusion, rock progressif, happy hardcore, chiptune, etc. avec des formations formelles en rave, hip-hop, soul, IDM et glitch. La nuance large et complexe de tous ces genres et plus encore est devenue la palette du son Hudson Mohawke.

Déclaré dans la sortie de l’album, « Pleurer du sucre sert de premier travail d’Hudson Mohawke profondément informé par les musiques de films apocalyptiques et les bandes sonores de tout le monde, de feu Vangelis à la pompe d’accords majeurs loufoque de John Williams des années 90. Surtout sur des morceaux comme « Stump », des scènes déchirantes émergent alors que les fêtards rentrent chez eux après le club au milieu de la montée du niveau de la mer, des cyclones à la bombe et des incendies de forêt vacillants. Pleurer du sucre sert également de propre OST dément de Mohawke pour marquer le crépuscule de notre effondrement culturel. Comme le montre l’illustration de l’album (par le cheval Wayne Willehad Eilers), nous sommes bras dessus bras dessous avec l’homme à la guimauve Ghostbusters, rentrant chez lui en balançant une bouteille de Jack pour contempler la tempête grise d’une catastrophe à venir.

Écoutez l’album éclectique de 19 titres, Pleurer du sucrede Hudson Mohawke, ci-dessous.

Photo de Jonnie Chambers