CHOP CHOP CHOP CHOP CHOP CHOP CHOP Votre chemin jusqu’à lundi avec Cyberviolence 2

C’est lundi et les lundis sont nuls, alors allons-y Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop avec Cyberviolence 2.

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Octobre est déjà plus de la moitié. Laissez-le pénétrer un instant. Alors que la pandémie ressemblait à une épreuve de plusieurs décennies, le fait est que le temps passe toujours à la vitesse de la 5G et nous micropuce comme un tireur d’élite de carte de crédit chez Target. Bienvenue dans le malheur. J’ai bu quelques bières et un scotch en écrivant ceci. À peu près aussi dur que possible, évidemment.

Aujourd’hui, Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop Chop, ou Hacher7x revient au Monday Grind. Le cybergrindeur célibataire de la côte Est nous propose un nouvel EP sous la forme de Cyberviolence 2, une suite à celle de juin Cyberviolence. Originaire de New Haven, CT, le projet pourrait peut-être être décrit comme le côté le plus violent du cybergrind. Au lieu de la tradition de garder les instruments numériques, la musique joue moins avec des choses comme le chiptune ou l’EDM et plus avec du grind pur et dur. C’est un court voyage, alors commençons.

Hacher7x propose quatre pistes de cybergrind à vous donner un coup de pied. « SEO » déchaîne le record avec un lent retour à la forme. Un morceau donne un son monolithique et lent avant de se déchaîner comme une putain de banshee. C’est une chanson très moqueuse, quelque chose qui sonne un peu abattu dans la nature. C’est court mais laisse quand même le temps de lancer quelques poings.

« Performance Peace » avance assez rapidement. C’est une offre plus punk mais dans ce style de mouture des années 80. Même en donnant des coups de pied avec quelques clics de baguette. La piste va vite, a du rebond et des explosions glorieuses. Ensuite, c’est fini et nous passons au suivant.

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« Obsolescence planifiée » ne perd pas de temps à se faire exploser. Mais il se décompose rapidement et devient un peu génial avec lui-même. Il finit par se briser sur une guitare nerveuse et continue de pousser les choses à pousser ce sentiment punk. Il se termine peu de temps après, mais il est difficile de ne pas vouloir en faire le tour.

« Cosplay » est peut-être la chanson la plus déchirante de la liste. Cette chose est de la cyberviolence pure. C’est une piste de vitriol et de chaos total. La chose broie et frappe l’auditeur comme si elle essayait de tuer la foule. C’est une pure tranche de grindcore avec un claquage qui donne presque l’impression qu’il va vous donner la paix. Ce ne est pas. C’est simplement une distraction avant d’entrer pour le deuxième coup.

Le dernier morceau, « Let’s Not And Say We Did » ferme le record, chronométrant cette bête en moins de quatre minutes. Un mouvement très mordant. C’est un morceau plus lent qui semble fatigué mais mousseux. Cependant, c’est quelque chose qui a encore quelques explosions en elle. La piste se sent épique. Il frappe plus fort à chaque frappe de guitare numérique et ferme bien l’EP.

Cyberviolence 2 vole en un peu plus de quatre minutes. Mais c’est une expérience intense qui ne perd pas de son temps. C’est cool de voir le cybergrind arriver tel qu’il est. Des projets hautement expérimentaux à ceux qui sont purs, eh bien, la cyberviolence, il y a beaucoup à passer au peigne fin. C’est un excellent point de départ pour les non-initiés. Et si vous avez juste besoin de quelque chose de grincheux pour vous en sortir aujourd’hui, c’est un coup de pied dans le cul. Hacher7x a parcouru un long chemin et continue de s’effacer. Obtenez broyage sur ça!

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